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Oh! Canada – Chapitre 1 : L’Est du pays

Grand public
1h20
Date Heure Lieu
4 décembre 2024 11 h 00 La Nouvelle Scène Gilles Desjardins
5 décembre 2024 11 h 00
6 décembre 2024 11 h 00

Texte, idéation, recherche, interprétation et mise en scène Danielle Le Saux-Farmer
Texte et recherche et interprétation Noémie F. Savoie
Idéation et recherche Nicolas Gendron

Production du Théâtre Catapulte, en collaboration avec la biennale Zones Théâtrales du Centre National des arts. 

Équipe de création

Texte Danielle Le Saux-Farmer et Noémie F. Savoie
Collaboration à l’écriture Ziad Ek, Moriana Kachmarsky, Carlo Weka

Mise en scène Danielle Le Saux-Farmer
Assistance à la mise en scène et régie Moriana Kachmarsky
Idéation et Recherche Nicolas Gendron, Danielle Le Saux-Farmer
Recherche Noémie F. Savoie
Distribution Ziad Ek, Danielle Le Saux-Farmer, Moriana Kachmarsky, Noémie F. Savoie, Carlo Weka

Conception d’éclairage Emilio Sébastiao et Tristan-Olivier Breiding
Conception sonore Nick Di Gaetano
Conception vidéo Guillaume Saindon
Assistant à la conception vidéo Eliott Martin
Direction de production Moriana Kachmarsky
Regard extérieur Gilles Poulin-Denis et Nicolas Gendron

Production Théâtre Catapulte
Coproduction avec la biennale Zones Théâtrales du Centre national des arts

Thèmes abordés

Le français au Canada est-il sur le respirateur artificiel ? Premier chapitre d’un vaste projet documentaire qui sonde l’état du fait français sur le territoire canadien, Oh! Canada plonge au cœur de l’explosive question linguistique à travers une enquête dans les provinces maritimes et l’Ontario, en passant par la nation québécoise, là où loge la majorité francophone.

Avec humour et lucidité, se déploient un état des lieux statistique et une cartographie des terrains les plus minés, parmi lesquels la francisation, l’immigration et la montée de l’anti-bilinguisme.

Avec ce Chapitre 1 : L’Est du pays, le Théâtre Catapulte tente de saisir l’insaisissable : au-delà des spécificités culturelles et éminemment émotives de chaque territoire, sommes-nous vraiment dans l’expectative d’une assimilation linguistique ?