Le rêve totalitaire de dieu l’amibe
de Patrick Leroux
Présenté par le Théâtre la Catapulte en collaboration avec Les 20 jours du théâtre à risque (Montréal)
1995-1996
Description
Trois êtres seuls et vulnérables se rencontrent dans l’espace virtuel d’Internet. Ils sont amadoués par un charlatan du nom impossible de « dieu l’amibe » et ils créent ensemble un culte despotique qui ne pourra que mener vers le désastre.
Aussi cubiste que sérielle, la pièce a été conçue comme un pied de nez au théâtre et à l’idée qu’on s’en fait.
Le Rêve totalitaire de dieu l’amibe a fait l’objet de quelques étapes de création, d’abord à Ottawa en mars 1995, à Sudbury et Saint-Lambert à l’été 1995 et, finalement, dans sa version achevée à Hull et à Montréal en novembre 1996.
Critique
« La gamme litanique-Dieu, amour, bonheur, néant, enfer, terreur, liberté, modulée tout au long de la pièce, prend un sens tantôt naïf, tantôt ironique, parfois humoristique, sarcastique ou sadique et fait de la pièce un lieu d’interrogation, une page blanche de réflexions à remplir par le spectateur. » La revue Liaison
Saison 94-95
En Mars 1995, à la Cour des Arts à Ottawa
En Août 1995 au Festival Fringe-Nord à Sudbury et au Festival Carrefour Théâtre à Saint-Lambert (QC);
Équipe de création
Texte, scénographie et direction artistique: Patrick Leroux
Mise en rythme et direction d’acteurs: Anne-Marie White
Conception sonore: Marcel Aymar
Conception des éclairages: Mark « Ti-coq » Delorme
Co-scénographie: Cathy Mitchell
Costumes: Simone MacAndrew
Conception vidéographique: Simon Coulombe
Régie: Francine Lapointe
Direction de production: Pierre-Paul Mongeon
Photo: Raymond Charette
Distribution: Nickie Brodie, Marc-André Charette, Sasha Dominique, Mario Gendron, Vincent Leclerc, Marie-Christine Lê-Huu, Simon-Pierre Perrault, Lyne Vaillancourt et Anne-Marie White (dans son rôle de chef d’orchestre).